dimanche, février 27, 2005
mercredi, février 23, 2005
Couleur café: le Rouge
Le rouge bientôt un souvenir ?
Pour cause de rupture de transmission inter-générationelle et de la filiation ( en clair : mésentente franche entre le père aussi patron du rouge et la fille aussi locataire du 1er étage), les soirées musique live du Rouge se voient compromises.
Qui a dit que la musique adoucit les mœurs…
Pour cause de rupture de transmission inter-générationelle et de la filiation ( en clair : mésentente franche entre le père aussi patron du rouge et la fille aussi locataire du 1er étage), les soirées musique live du Rouge se voient compromises.
Qui a dit que la musique adoucit les mœurs…

mercredi, février 16, 2005
Marché vs marketing
Ah l’assiette du marché…N’imagine-t-on pas un chef tel Perrette et son pot au lait, coiffé de son joli cabas de bois écumant les étals des maraîchers, pressé de faire découvrir au citadin la quintessence de l’art potager…

Ah l’assiette du marché[1] … Juste un restaurant fooding de plus, avec une carte concept, à la cuisine inventive, de la cuisine qui expérience.
Cuisine limite régressive dirons certains (en l’occurrence moi), chips au kiri en entrée, fallait y penser…

[1] Rue de la monnaie, si vous y tenez….
mardi, février 15, 2005
lundi, février 14, 2005
Drôle de temps, drôle d’époque.
Je remplis mon cahier des charges, sur un blog on parle aussi de la pluie et du beau temps. Enfin de l’orage (si si) et de la grêle. De l’orage en février, le temps aussi semble déconstruit, si c’est pas malheureux ma bonne dame !

« Alors que d'effrayantes inondations submergeaient l'Europe de l'est, et que l'on se demandait si le climat n'était quand même pas vraiment détraqué, un hebdomadaire avait tranché avec un titre admirable : «Le climat ne se détraque pas, il change.» Appliquée au temps, c'est la rhétorique analgésique de l'époque dans tous les domaines : la famille n'est pas en miettes, elle change (…). Et ainsi de suite. Autrement dit, et pour en revenir aux intempéries : ne vous accrochez pas à une vision du climat passéiste. Si vous recevez un jour le ciel sur la gueule, ne vous dites pas que c'est la fin du monde, pensez qu'il pleut du moderne. Et, le jour de l'Apocalypse, ne vous dites pas non plus que c'est la fin du monde, dites-vous que ça change. »
Philippe Muray.

« Alors que d'effrayantes inondations submergeaient l'Europe de l'est, et que l'on se demandait si le climat n'était quand même pas vraiment détraqué, un hebdomadaire avait tranché avec un titre admirable : «Le climat ne se détraque pas, il change.» Appliquée au temps, c'est la rhétorique analgésique de l'époque dans tous les domaines : la famille n'est pas en miettes, elle change (…). Et ainsi de suite. Autrement dit, et pour en revenir aux intempéries : ne vous accrochez pas à une vision du climat passéiste. Si vous recevez un jour le ciel sur la gueule, ne vous dites pas que c'est la fin du monde, pensez qu'il pleut du moderne. Et, le jour de l'Apocalypse, ne vous dites pas non plus que c'est la fin du monde, dites-vous que ça change. »
Philippe Muray.